Rien de particulier à dire sur l'hÎtel. C'est un 3* avec le confort d'un formule 1 français mais ça passe.
Le restaurant de l'hĂŽtel, lui, par contre, vaut le dĂ©tour. Il se trouve en face de l'hĂŽtel, dans un hĂŽtel appartenant Ă la mĂȘme compagnie. L'accueil y est agrĂ©able, pas trop bruyant, le carrelage est magnifique, les tables et chaises jolies et confortables, le plafond et les murs sont eux aussi assez beaux. On s'installe, les prix allĂ©chant du menu (12⏠pour entrĂ©e + plat + dessert, et 8⏠la bouteille de rouge) nous ouvre l'appĂ©tit. On reçoit alors notre vin rouge, ainsi qu'une paniĂšre de pain. Le vin rouge sortait tout juste du frigo (Oui, du frigo), et nous nous sommes presques Ă©touffĂ©s avec le truc qui ressemble Ă du pain. Notre entrĂ©e arrive, pas mauvais, pas bon, mais on avait faim, donc ça allait. Et la arrive ce qui vaut vraiment le dĂ©tour. Le plat principal. L'escalope milanaise, le hamburger, et les patates rĂŽties. C'Ă©tait incroyable, je n'avais jamais connu pareil sensation. Travaillant en collectivitĂ©, on avait pourtant habituĂ© notre bouche Ă toutes les saveurs possible. Mais la, c'Ă©tait du grandiose, du splendide, du rocambolesque. On avait jamais mangĂ© quelque chose d'aussi affreux. C'Ă©tait dĂ©gueulasse. Le vin Ă©tait infect, l'escalope ressemblait Ă du plastique rempli de chapelure frit, le hamburger Ă©tait en fait un steack hachĂ© gris/noir (mĂȘme pas ils ont demandĂ© la cuisson, direct semelle!), les patates rĂŽties Ă©taient moles. Une incroyable virĂ©e !