DÚs l'arrivée, on s'est dit qu'il y avait un problÚme : odeur de cannabis, comité d'accueil composé de chauffeurs de taxis qui attendaient le chaland nous empéchant d'accéder à l'ascenseur, puisque l'accueil de l'hÎtel se trouve au 12e étage...
Notre chambre Ă©tait au 6e, donc accessible directement avec l'ascenseur par n'importe qui, sans contrĂŽle de la rĂ©ception. Au milieu d'un couloir glauque et dĂ©fraichi, nous accĂ©dons Ă notre chambre : elle sentait mauvais le renfermĂ©/cigarette, le parquet stratifiĂ© Ă©tait Ă©caillĂ©, les meubles bas de gamme vieillots rafistolĂ©s avec du scotch "imitation bois", la tĂȘte de lit griffĂ©e et trouĂ©e, bien sĂ»r le wifi ne fonctionnait pas. Draps et serviettes de mauvaise qualitĂ© et pas trĂšs blanches sur le milieu...
Le pompon : le "cocktail de bienvenue" qui était en fait un sirop (seulement 3 choix menthe, fraise ou cerise) avec de l'eau pétillante, dans lequel notre barman transpirant aux cheveux gras a versé des bonbons gélatineux.
Un désastre.